Mémoire et héritage de Ndiaga Dieng : Fatou Dieng rappelle la vision sportive de son père

La ville de Boghé a vibré, tout au long du week end , au rythme du basketball et du souvenir, lors du Tournoi International de Basketball organisé en hommage au feu Général Ndiaga Dieng, ancien président de la Fédération mauritanienne de basketball (1995-2015) et figure majeure du sport national et continental.
À Boghé, ville natale du feu Général Ndiaga Dieng, sa fille Fatou Ndiaga Dieng a livré un discours empreint d’émotion et de gratitude lors de l’ouverture du tournoi international de basketball qui lui est dédié qui s’est ouvert sous le signe de l’émotion.
Dans une cérémonie marquée par le recueillement et la ferveur sportive, Fatou Ndiaga Dieng a rendu un vibrant hommage à son père, le Général Ndiaga Dieng, rappelant son héritage et sa vision d’un sport porteur d’unité et d’espoir. Fatou Ndiaga Dieng a salué la mémoire et l’engagement de son père pour le développement du sport en Mauritanie et en Afrique.
Entre mémoire et transmission, Fatou Ndiaga Dieng a rappelé, à Boghé, l’héritage sportif et humain laissé par son père, le Général Ndiaga Dieng, figure emblématique du basketball mauritanien.
Devant un parterre de personnalités — autorités locales, représentants du ministère, responsables fédéraux, membres du Comité olympique et parrains de l’événement — l’émotion était palpable.
« Un geste qui dépasse le cadre sportif »
Prenant la parole au nom de sa famille, Mme Thiam née Fatou Dieng a exprimé une profonde gratitude envers les organisateurs et la communauté sportive.
« Votre geste va bien au-delà d’un simple hommage sportif : il symbolise la reconnaissance envers un homme qui a tant donné au basketball, en Mauritanie, en Afrique et au-delà », a-t-elle déclaré avec émotion.
Elle a rappelé l’attachement indéfectible de son père aux valeurs éducatives et sociales du sport : « Mon père a toujours cru que le sport était un vecteur d’unité, d’éducation et d’espoir pour la jeunesse. Cet hommage, rendu sur sa terre natale, revêt une signification toute particulière. »
Un héritage pour les générations futures
Au-delà de la mémoire du Général Ndiaga Dieng, c’est tout un héritage qui se transmet à travers cet événement sportif. « C’est ici, à Boghé, qu’il a puisé ses valeurs, son attachement à la communauté et son amour pour son pays », a insisté Mme Thiam née Fatou Dieng, saluant « la contribution de tous ceux qui ont rendu ce moment possible ».
Dans un geste empreint d’humanité, elle a également adressé des vœux de prompt rétablissement au maire de Boghé, Ba Adama Moussa , actuellement convalescent.
Une cérémonie symbolique
La tenue de ce tournoi dépasse le cadre de la compétition : elle constitue un moment de mémoire collective et un symbole fort pour la jeunesse mauritanienne. En choisissant de célébrer l’héritage du Général Ndiaga Dieng à Boghé, sa ville natale, les organisateurs ont voulu inscrire son nom et son action dans la durée.
Un héritage qui, à travers le basketball, continue de faire rayonner les valeurs de discipline, d’unité et de persévérance que le défunt a incarnées tout au long de sa carrière.
À Boghé, ville natale du feu Général Ndiaga Dieng, sa fille Fatou Ndiaga Dieng a livré un discours empreint d’émotion et de gratitude lors de l’ouverture du tournoi international de basketball qui lui est dédié qui s’est ouvert sous le signe de l’émotion.
Dans une cérémonie marquée par le recueillement et la ferveur sportive, Fatou Ndiaga Dieng a rendu un vibrant hommage à son père, le Général Ndiaga Dieng, rappelant son héritage et sa vision d’un sport porteur d’unité et d’espoir. Fatou Ndiaga Dieng a salué la mémoire et l’engagement de son père pour le développement du sport en Mauritanie et en Afrique.
Entre mémoire et transmission, Fatou Ndiaga Dieng a rappelé, à Boghé, l’héritage sportif et humain laissé par son père, le Général Ndiaga Dieng, figure emblématique du basketball mauritanien.
Devant un parterre de personnalités — autorités locales, représentants du ministère, responsables fédéraux, membres du Comité olympique et parrains de l’événement — l’émotion était palpable.
« Un geste qui dépasse le cadre sportif »
Prenant la parole au nom de sa famille, Mme Thiam née Fatou Dieng a exprimé une profonde gratitude envers les organisateurs et la communauté sportive.
« Votre geste va bien au-delà d’un simple hommage sportif : il symbolise la reconnaissance envers un homme qui a tant donné au basketball, en Mauritanie, en Afrique et au-delà », a-t-elle déclaré avec émotion.
Elle a rappelé l’attachement indéfectible de son père aux valeurs éducatives et sociales du sport : « Mon père a toujours cru que le sport était un vecteur d’unité, d’éducation et d’espoir pour la jeunesse. Cet hommage, rendu sur sa terre natale, revêt une signification toute particulière. »
Un héritage pour les générations futures
Au-delà de la mémoire du Général Ndiaga Dieng, c’est tout un héritage qui se transmet à travers cet événement sportif. « C’est ici, à Boghé, qu’il a puisé ses valeurs, son attachement à la communauté et son amour pour son pays », a insisté Mme Thiam née Fatou Dieng, saluant « la contribution de tous ceux qui ont rendu ce moment possible ».
Dans un geste empreint d’humanité, elle a également adressé des vœux de prompt rétablissement au maire de Boghé, Ba Adama Moussa , actuellement convalescent.
Une cérémonie symbolique
La tenue de ce tournoi dépasse le cadre de la compétition : elle constitue un moment de mémoire collective et un symbole fort pour la jeunesse mauritanienne. En choisissant de célébrer l’héritage du Général Ndiaga Dieng à Boghé, sa ville natale, les organisateurs ont voulu inscrire son nom et son action dans la durée.
Un héritage qui, à travers le basketball, continue de faire rayonner les valeurs de discipline, d’unité et de persévérance que le défunt a incarnées tout au long de sa carrière.