Compétitions CAF: La Mauritanie conserve deux stades homologués, le Stade Olympique toujours recalé

La Confédération Africaine de Football (CAF) a publié la mise à jour officielle de la liste des stades approuvés pour accueillir les compétitions interclubs de la saison 2025/2026. Bonne nouvelle pour la Mauritanie : le Stade municipal de Nouadhibou et le Stade Cheikha Boïdiya à Nouakchott ont été homologués. Ces deux infrastructures pourront donc accueillir les rencontres des clubs mauritaniens engagés en Ligue des Champions ou en Coupe de la Confédération.
Le Stade Cheikha Boïdiya, bien qu’encore en chantier, a tout de même été validé par la CAF, ce qui traduit une certaine flexibilité de l’instance compte tenu des efforts de modernisation en cours. Le Stade municipal de Nouadhibou, quant à lui, confirme sa place comme l’un des rares équipements aux normes dans le pays.
En revanche, le Stade Olympique de Nouakchott est de nouveau écarté. Pour la troisième année consécutive, la plus grande enceinte sportive du pays n’a pas obtenu le feu vert de la CAF. En cause : des manquements persistants aux standards exigés pour les compétitions continentales, notamment l’absence de sièges individuels conformes, d’équipements techniques de niveau international et de conditions d’accueil adéquates pour les médias et les officiels.
La CAF rappelle dans son rapport que huit pays africains ne disposent toujours pas d’infrastructures répondant aux normes pour les compétitions seniors, ce qui les oblige à évoluer à l’extérieur lors des échéances continentales.
Cette homologation concerne les stades dits de « catégorie 2 », utilisés pour les éliminatoires des CAN U17, U20, U23, ainsi que pour les premiers tours des compétitions interclubs. Pour la Mauritanie, le maintien de deux stades sur la liste est un atout stratégique, notamment pour le FC Nouadhibou, engagé en Ligue des Champions 2025/2026, mais aussi pour les futurs engagements du championnat national et des équipes locales.
Le rejet du Stade Olympique met en lumière l’urgence de réhabiliter en profondeur cette infrastructure emblématique, qui peine à retrouver son rang sur l’échiquier africain malgré son importance historique et sa capacité.
Quatre en tête
Parmi les pays disposant du plus grand nombre de stades homologués figurent l’Algérie, le Maroc, l’Afrique du Sud et la Côte d’Ivoire. Avec treize (13) enceintes sportives répondant aux normes exigées, l’Afrique du Sud occupe la première place du classement. Le Maroc suit en deuxième position avec dix (10) stades agréés, tandis que l’Algérie complète le podium avec neuf (9) installations homologuées.
On retrouve ainsi, pour l’Afrique du Sud, une large liste avec le Soccer City Stadium de Johannesburg, le Moses Mabhida Stadium de Durban ou le Cape Town Stadium. Le Maroc confirme sa place parmi les nations bien équipées avec le Stade Mohammed V de Casablanca, le Grand Stade Marrakech et plusieurs autres infrastructures aux standards internationaux sans oublier l’Algérie, des enceintes emblématiques comme le Stade du 5 Juillet 1962 à Alger, le Nelson Mandela Stadium ou encore le Complexe Olympique d’Oran.
Le Stade Cheikha Boïdiya, bien qu’encore en chantier, a tout de même été validé par la CAF, ce qui traduit une certaine flexibilité de l’instance compte tenu des efforts de modernisation en cours. Le Stade municipal de Nouadhibou, quant à lui, confirme sa place comme l’un des rares équipements aux normes dans le pays.
En revanche, le Stade Olympique de Nouakchott est de nouveau écarté. Pour la troisième année consécutive, la plus grande enceinte sportive du pays n’a pas obtenu le feu vert de la CAF. En cause : des manquements persistants aux standards exigés pour les compétitions continentales, notamment l’absence de sièges individuels conformes, d’équipements techniques de niveau international et de conditions d’accueil adéquates pour les médias et les officiels.
La CAF rappelle dans son rapport que huit pays africains ne disposent toujours pas d’infrastructures répondant aux normes pour les compétitions seniors, ce qui les oblige à évoluer à l’extérieur lors des échéances continentales.
Cette homologation concerne les stades dits de « catégorie 2 », utilisés pour les éliminatoires des CAN U17, U20, U23, ainsi que pour les premiers tours des compétitions interclubs. Pour la Mauritanie, le maintien de deux stades sur la liste est un atout stratégique, notamment pour le FC Nouadhibou, engagé en Ligue des Champions 2025/2026, mais aussi pour les futurs engagements du championnat national et des équipes locales.
Le rejet du Stade Olympique met en lumière l’urgence de réhabiliter en profondeur cette infrastructure emblématique, qui peine à retrouver son rang sur l’échiquier africain malgré son importance historique et sa capacité.
Quatre en tête
Parmi les pays disposant du plus grand nombre de stades homologués figurent l’Algérie, le Maroc, l’Afrique du Sud et la Côte d’Ivoire. Avec treize (13) enceintes sportives répondant aux normes exigées, l’Afrique du Sud occupe la première place du classement. Le Maroc suit en deuxième position avec dix (10) stades agréés, tandis que l’Algérie complète le podium avec neuf (9) installations homologuées.
On retrouve ainsi, pour l’Afrique du Sud, une large liste avec le Soccer City Stadium de Johannesburg, le Moses Mabhida Stadium de Durban ou le Cape Town Stadium. Le Maroc confirme sa place parmi les nations bien équipées avec le Stade Mohammed V de Casablanca, le Grand Stade Marrakech et plusieurs autres infrastructures aux standards internationaux sans oublier l’Algérie, des enceintes emblématiques comme le Stade du 5 Juillet 1962 à Alger, le Nelson Mandela Stadium ou encore le Complexe Olympique d’Oran.